Depuis ce matin, Alan et son équipage retrouvent un semblant de stabilité avec du vent tribord amure, mais restent dépendants des caprices de leur nouveau terrain de jeu méditerranéen. Alors à bord d’AMAALA, on garde le moral et on avance autant que possible, dès que possible !« On ne sait pas combien de temps le vent va rester. Chaque zone sans vent est pour nous : si tu veux de la molle, vient naviguer avec moi en fait ! C’est assez dur de voir qu’un retard de moins de 10 milles se transforme en 350 sur les premiers. Je suis mauvais en calcul, mais ça fait un sacré pourcentage ! On garde le moral, on fait avancer le bateau et on profite de nos quarts off pour se reposer car on est vite usés après 3 heures à constamment régler ! »Encore une bonne démonstration des objectifs de la Swiss Offshore Team, où résilience, réactivité et cohésion demeurent les maîtres mots.
Image © Adrien Cordier / Air Vide et Eau productions